Site portail de la ville de Tremblay-en-france logo

Sommaire

« Les oiseaux, les poissons et les insectes peuvent vivre sans l’homme, mais nous, les humains, nous ne pouvons pas vivre sans eux ! » Début février, emmenées par le service Développement durable et les Jardins solidaires, deux classes de CP de l’école Paul-Langevin effectuent une visite moins anecdotique qu’il n’y paraît. Alors que la Journée mondiale des zones humides est célébrée le 2 février, une question s’impose : qu’est-ce qu’une zone humide, au juste ?

« Ce peut être une mare, un marais, une mangrove… À Tremblay, nous avons la chance d’avoir trois mares en plein coeur de ville », exposent Pierre Godefroy, chargé de mission au Développement durable, et Marco Benni, responsable des Jardins solidaires. Une chance ? Eh oui : les enfants apprendront en effet que les zones humides sont des réservoirs de biodiversité et qu’elles jouent un rôle fondamental, notamment pour la qualité de l’eau et pour la régulation du climat en absorbant le carbone.

C’est pourquoi les mares de Tremblay ont intéressé des étudiants de l’École Du Breuil, l’école d’horticulture de la ville de Paris. Ils les ont choisies comme sujet d’étude afin d’apporter des solutions pour les valoriser et les protéger. Les écoliers apprendront aussi que depuis l’année dernière, la mare du parc est en partie alimentée par les eaux de pluie acheminées depuis le toit de l’hôtel de ville. Mais l’heure est à l’observation, et quoi de mieux que le dessin pour apprendre à voir et à mieux connaître ?