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« Pour nous, le CDG Express est une longue bataille. Une bataille que le maire, François Asensi, a entamée dès le premier projet de l’État, c’est-à-dire au début des années 2000 », ont souligné Virginie De Carvalho, première adjointe, et les nombreux élus, lors de la réunion du 10 juin dernier en mairie avec les riverains du RER B, concernés par la future ligne prévue pour fin mars 2027. 

Face à l’absence de réponse concrète sur la pose de protections acoustiques le long des 710 m de voies traversant les zones habitées — pourtant promises par l’État en 2019 via le préfet de l’époque Michel Cadot —, incompréhension et colère dominent autant chez les riverains que les élus. 

Une mobilisation citoyenne accompagnée par la municipalité 

Après un premier courrier daté du 11 avril 2025, le maire a de nouveau interpellé le préfet de région le 17 juin : « Les Tremblaysiens doivent être écoutés, protégés, respectés ! ». Il réclame une rencontre urgente avec une délégation de riverains pour réévaluer les mesures prévues. 

Ensemble, habitants et municipalité demandent la réalisation des engagements : protection anti-bruit, isolation phonique des logements, et réduction de la vitesse des trains qui, selon les informations communiquées par Aéroports de Paris et SNCF Réseau, passeraient toutes les 7 minutes à 140 km/h. Affaire à suivre…